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Les Mains Sales, La Nausée ou d'autres livres, le prestige de Jean-Paul Sartre
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Les Mains Sales, La Nausée ou d'autres livres, le prestige de Jean-Paul Sartre
Sartre (1905-1980) est sans doute le philosophe le plus connu du XXe siècle. Sa poursuite infatigable de la réflexion philosophique, la créativité littéraire et, dans la seconde moitié de sa vie, l'engagement politique actif lui a valu une renommée mondiale, sinon l'admiration. Il est communément considéré comme le père de la philosophie existentialiste, dont les écrits ou le ton pour la vie intellectuelle dans la décennie qui suit immédiatement la Seconde Guerre mondiale. Parmi les nombreuses ironies qui imprègnent sa vie, non le moindre est l'immense popularité de sa conférence publique scandaleuse "L'existentialisme est un humanisme,« livré à une foule parisienne enthousiaste Octobre 28, 1945. Bien que considéré comme un manifeste quasi pour le mouvement existentialiste, la transcription de cette conférence était la seule publication que Sartre ouvertement regretté de voir dans la presse. Et pourtant, il continue d'être la principale introduction à sa philosophie pour le grand public. Une des raisons à la fois pour sa popularité et de son malaise est la clarté avec laquelle il présente les grands principes de la pensée existentialiste tout en révélant la tentative de Sartre à élargir son application sociale en réponse à ses critiques communistes et catholiques. En d'autres termes, il nous offre un aperçu de la pensée de Sartre "sur l'aile."

Sartre est né à Paris où il a passé la majeure partie de sa vie. Après une éducation philosophique traditionnelle dans les écoles parisiennes prestigieuses qui l'initient à l'histoire de la philosophie occidentale avec un biais vers cartésianisme et néokantisme, sans parler d'une forte déformation du bergsonisme, Sartre a succédé à son ancien camarade d'école, Raymond Aron, à l'Institut français de Berlin (1933-1934) où il a lu les premiers phénoménologues de la journée, Husserl, Heidegger et Scheler. Il prisé de retraitement de Husserl du principe de l'intentionnalité (toute conscience vise à ou «entend» un autre-que-conscience) qui semblait libérer le penseur de l'intérieur / l'épistémologie extérieur héritée de Descartes, tout en conservant l'immédiateté et la certitude que cartésiens prisé afin très. Qu'est-ce qu'il avait lu Heidegger à l'époque est difficile, mais il traite de la ontologiste allemande influente explicitement après son retour et surtout dans son chef-d'oeuvre, Être et le Néant (1943). Il exploite la version de l'intentionnalité husserlienne de ce dernier en insistant pour que la réalité humaine (Dasein humaine ou la façon de Heidegger d'être) est "dans le monde" principalement par ses préoccupations pratiques et non pas ses relations épistémiques. Cela donne à la fois Heidegger et au début des philosophies de Sartre une sorte de caractère «pragmatique» que Sartre, au moins, ne sera jamais abandonner. On a remarqué que bon nombre des concepts heideggériennes dans les écrits existentialistes de Sartre se produisent aussi dans ceux de Bergson, dont "Les données immédiates de la conscience» (temps et Free Will) Sartre fois crédité de l'attirant vers la philosophie. Mais il est clair que Sartre a consacré une grande partie de sa première attention philosophique à la lutte contre le bergsonisme puis influent et que la mention du nom de Bergson diminue à mesure que celle de Heidegger se développe dans les écrits de Sartre pendant les années existentialistes "vintage". Sartre semble avoir lu l'éthicien phénoménologique Max Scheler, dont le concept de la compréhension intuitive des cas de paradigme est repris dans la référence de Sartre à «l'image» du genre de personne que chacun devrait être que les deux guides et est façonnée par nos choix moraux. Mais où Scheler de la meilleure façon husserlienne plaide pour la «découverte» de ces images de valeur, Sartre insiste sur leur création. Le "existentialiste" la version appropriée de la phénoménologie est déjà en jeu.

Sartre est né à Paris où il a passé la majeure partie de sa vie. Après une éducation philosophique traditionnelle dans les écoles parisiennes prestigieuses qui l'initient à l'histoire de la philosophie occidentale avec un biais vers cartésianisme et néokantisme, sans parler d'une forte déformation du bergsonisme, Sartre a succédé à son ancien camarade d'école, Raymond Aron, à l'Institut français de Berlin (1933-1934) où il a lu les premiers phénoménologues de la journée, Husserl, Heidegger et Scheler. Il prisé de retraitement de Husserl du principe de l'intentionnalité (toute conscience vise à ou «entend» un autre-que-conscience) qui semblait libérer le penseur de l'intérieur / l'épistémologie extérieur héritée de Descartes, tout en conservant l'immédiateté et la certitude que cartésiens prisé afin très. Qu'est-ce qu'il avait lu Heidegger à l'époque est difficile, mais il traite de la ontologiste allemande influente explicitement après son retour et surtout dans son chef-d'oeuvre, Être et le Néant (1943). Il exploite la version de l'intentionnalité husserlienne de ce dernier en insistant pour que la réalité humaine (Dasein humaine ou la façon de Heidegger d'être) est "dans le monde" principalement par ses préoccupations pratiques et non pas ses relations épistémiques. Cela donne à la fois Heidegger et au début des philosophies de Sartre une sorte de caractère «pragmatique» que Sartre, au moins, ne sera jamais abandonner. On a remarqué que bon nombre des concepts heideggériennes dans les écrits existentialistes de Sartre se produisent aussi dans ceux de Bergson, dont "Les données immédiates de la conscience» (temps et Free Will) Sartre fois crédité de l'attirant vers la philosophie. Mais il est clair que Sartre a consacré une grande partie de sa première attention philosophique à la lutte contre le bergsonisme puis influent et que la mention du nom de Bergson diminue à mesure que celle de Heidegger se développe dans les écrits de Sartre pendant les années existentialistes "vintage". Sartre semble avoir lu l'éthicien phénoménologique Max Scheler, dont le concept de la compréhension intuitive des cas de paradigme est repris dans la référence de Sartre à «l'image» du genre de personne que chacun devrait être que les deux guides et est façonnée par nos choix moraux. Mais où Scheler de la meilleure façon husserlienne plaide pour la «découverte» de ces images de valeur, Sartre insiste sur leur création. Le "existentialiste" la version appropriée de la phénoménologie est déjà en jeu.
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