Abréviations et numérotation

par flsh agadir Mar 27 Jan - 18:14

Elles semblent plus faciles à prendre : on a le loisir de réfléchir sur le choix de ce qu’on va noter, le repentir est permis puisque le texte est disponible pour un retour en arrière.
Mais on risque alors de trop recopier.
Une technique particulière peut être suggérée :
• On procède à une lecture rapide du texte, et l’on coche d’un crayon léger un livre, surtout emprunté, ne doit pas être souillé : le travail achevé, on aura soin de tout effacer, les passages ou les expressions les plus importantes ou les plus caractéristiques ;
• Après cette lecture, on réfléchit au plan et à l’enchainement des parties et des idées.
• On prend les notes en pratiquant une seconde lecture et en vérifiant que les passages cochés sont bien essentiels ce qui, on le constatera, n’est pas toujours le cas.
Les abréviations :
Elles ne sont pas à rejeter. Mais pour en user à bon escient, un principe rigoureux : en aucun cas, il ne faut improviser une abréviation.
Vous avez surement trouvé dans vos notes des abréviations indéchiffrables quelque temps après. C’est que, dans la circonstance fortuite, vous aviez inventé un raccourci d’écriture inhabituel. Pour se servir efficacement des abréviations, il faut s’en constituer petit à petit un code qui peut être personnel, mais doit rester permanent dans tous vos écrits.
Numérotation des feuilles :
Vous avez noirci un certain nombre de feuilles, cela vous impose de les numéroter avec soin ; sinon vous risquez de ne plus retrouver leur ordre de succession. Il est prudent, avant une conférence ou une lecture assez longue, de numéroter par avance quelques feuilles. Si l’on ne peut le prévoir, il faut le faire au fur et à mesure des besoins. Le réflexe doit être acquis rapidement : ne jamais commencer une page avant qu’elle ne porte son numéro. Celui-ci sera inscrit dans le coin supérieur droit de la feuille, le plus visible.